Lorsque les journaux ont annoncé le divorce entre Nicolas et Cécilia Sarkozy, certains oubliaient même qu'il s'agissait d'une affaire privée, et d'autres s'y lancaient en perdant de vue que l'information n'avait aucun caractère prioritaire, au vu de la grève qui se passait le même jour, et qui affectait des millions de personnes.
Mais sans revenir ni sur les causes ni sur les effets politiques ou économiques de cette séparation (qui au final n'était que prévisible), je préfère me limiter au sens que donne cette situation, qui pour moi est à la fois inédite et également chargée de leçons.
La première leçon que je tire, c'est qu'une fois de plus, le Président français est issu d'une autre génération, celle de ce siècle:
- Celle qui prend des décisions, agit et surtout assume ses choix;
- Celle qui tourne la page à une époque où l'on vivait d'abord (ou uniquement) pour faire plaisir aux autres;
- Celle qui ne posait aucun acte sans vérifier ce que l'entourage allait en penser...
Au final, quel est le but de la vie? Personne n'a encore pu nous démontrer clairement qu'après la vie sur Terre il ya une autre vie. Ce qui force les pragmatiques à se dire que la vie est à méner pleinement sur Terre, et ceci de la meilleure manière que l'on puisse le faire, sans regrets et encore moins, sans remords.
Ce qui nous limite parfois en terme d'actions, c'est que nous réfléchissons tellement à l'action à méner, qu'on finit par ne plus se bouger. La vie est un choix, et choisir c'est renoncer.
Alors, qu'il s'agisse d'une décision de démission, de mariage ou même de divorce, le plus dur n'est pas seulement de réfléchir aux conséquences, mais de bien évaluer ce qu'on est capable de gérer en terme de conséquences; en d'autres termes, de savoir jusqu'où on est prêt à aller pour faire vibrer l'une des valeurs pour laquelle j'ai beaucoup de respect, LA LIBERTE.
Etre libre c'est à la fois décider de ne pas accepter de contraintes, ou de n'en accepter que le moins possible. La liberté dont il est question ici, n'est en rien celle dont on dit que le prisonnier est dépourvu, mais celle qu'il a lorsqu'il décide de commettre un délit.
C'est le choix que l'on fait lorsqu'on décide de cesser de fréquenter, mais qu'on n'a plus le jour où l'on se rend compte que c'était une erreur. Car les erreurs sont apporteuses de leçons, mais très souvent pour les autres, puisque pour soi, elles sont déjà consommées, et le mal est déjà fait.
Alors, nous devons apprendre à décider rapidement, à choisir en étant conscients du risque (le risque nul n'existant que dans les romans d'amour); la vie est une réalité qui impose un certain pragmatisme, c'est à chacun de définir le dégré de pragmatisme qu'il va s'imposer, mais de grâce, quand on pense devoir prendre une décision, cessons de penser qu'elle n'aura que des apects positifs.
Puisque choisir c'est véritablement renoncer. Et la vie c'est une sucession de choix, la vie d'adultes encore plus.
Mais sans revenir ni sur les causes ni sur les effets politiques ou économiques de cette séparation (qui au final n'était que prévisible), je préfère me limiter au sens que donne cette situation, qui pour moi est à la fois inédite et également chargée de leçons.
La première leçon que je tire, c'est qu'une fois de plus, le Président français est issu d'une autre génération, celle de ce siècle:
- Celle qui prend des décisions, agit et surtout assume ses choix;
- Celle qui tourne la page à une époque où l'on vivait d'abord (ou uniquement) pour faire plaisir aux autres;
- Celle qui ne posait aucun acte sans vérifier ce que l'entourage allait en penser...
Au final, quel est le but de la vie? Personne n'a encore pu nous démontrer clairement qu'après la vie sur Terre il ya une autre vie. Ce qui force les pragmatiques à se dire que la vie est à méner pleinement sur Terre, et ceci de la meilleure manière que l'on puisse le faire, sans regrets et encore moins, sans remords.
Ce qui nous limite parfois en terme d'actions, c'est que nous réfléchissons tellement à l'action à méner, qu'on finit par ne plus se bouger. La vie est un choix, et choisir c'est renoncer.
Alors, qu'il s'agisse d'une décision de démission, de mariage ou même de divorce, le plus dur n'est pas seulement de réfléchir aux conséquences, mais de bien évaluer ce qu'on est capable de gérer en terme de conséquences; en d'autres termes, de savoir jusqu'où on est prêt à aller pour faire vibrer l'une des valeurs pour laquelle j'ai beaucoup de respect, LA LIBERTE.
Etre libre c'est à la fois décider de ne pas accepter de contraintes, ou de n'en accepter que le moins possible. La liberté dont il est question ici, n'est en rien celle dont on dit que le prisonnier est dépourvu, mais celle qu'il a lorsqu'il décide de commettre un délit.
C'est le choix que l'on fait lorsqu'on décide de cesser de fréquenter, mais qu'on n'a plus le jour où l'on se rend compte que c'était une erreur. Car les erreurs sont apporteuses de leçons, mais très souvent pour les autres, puisque pour soi, elles sont déjà consommées, et le mal est déjà fait.
Alors, nous devons apprendre à décider rapidement, à choisir en étant conscients du risque (le risque nul n'existant que dans les romans d'amour); la vie est une réalité qui impose un certain pragmatisme, c'est à chacun de définir le dégré de pragmatisme qu'il va s'imposer, mais de grâce, quand on pense devoir prendre une décision, cessons de penser qu'elle n'aura que des apects positifs.
Puisque choisir c'est véritablement renoncer. Et la vie c'est une sucession de choix, la vie d'adultes encore plus.
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