S'il ya un phénomène qui évolue sous forme de contagion en ce début d'année 2011, c'est bien la volonté des Peuples d'Afrique du Nord, d'arracher la démocratie que leurs dirigeants semblent avoir confisqué pendant de (très?) longues annnées.
La vitesse avec laquelle les mouvements populaires ont limogé le Président Ben Ali en Tunisie, a fait penser qu'il s'est agi d'une organisation bien préparée de longue date par des Hommes de l'ombre....personne ne peut le prouver jusqu'à présent.
Ce qui est certain, c'est que cette action a donné le courage aux Peuples voisins, et voilà l'Egypte qui se met en mouvement, à partir de la rue...et réclame le départ de son Président, au pouvoir depuis 30 ans, et qui à 82 ans ne semble pas déterminé à prendre une retraite politique.
L'année 2011, et avec elle la decennie qui commence, sera riche en élections (14 je pense rien pour les 12 prochains mois); avec les évènements qui ont commencé en Afrique du Nord, il serait naif de penser que les autres Peuples verront ces élections de la même manière. Toutes les polulations semblent, au regard de ce qu'elles voient se passer dans d'autres parties du monde, vouloir donner leur mot dans le destin de leurs Pays.
Par conséquent, chaque Président élu devra veiller à être légitime, sinon la riposte risque de le fragiliser...et parfois même de le limoger...les faits sont têtus, et les prochains mois devront voir les dirigeants plus rendre compte, être plus proches de leurs administrés, veiller à ce que les actes posés soient capables de profiter à la majorité et non plus à une minorité hautaine de surcroît.
Prions pour que ces mouvements, qui sonnent une nouvelle page de la politique en Afrique, ne poussent pas certains Etats dans le chaos. Dans tous les cas, rien ne vaut le mouvement, car il permet au moins de remettre en question les habitudes, de nous sortir de nos zones de confort.
Vive la Démocratie donc, et puisse-t-elle s'organiser autour de vrais projets, de projets ambitieux, dans lesquels le profit des Peuples passe avant celui des Dirigeants.
La vitesse avec laquelle les mouvements populaires ont limogé le Président Ben Ali en Tunisie, a fait penser qu'il s'est agi d'une organisation bien préparée de longue date par des Hommes de l'ombre....personne ne peut le prouver jusqu'à présent.
Ce qui est certain, c'est que cette action a donné le courage aux Peuples voisins, et voilà l'Egypte qui se met en mouvement, à partir de la rue...et réclame le départ de son Président, au pouvoir depuis 30 ans, et qui à 82 ans ne semble pas déterminé à prendre une retraite politique.
L'année 2011, et avec elle la decennie qui commence, sera riche en élections (14 je pense rien pour les 12 prochains mois); avec les évènements qui ont commencé en Afrique du Nord, il serait naif de penser que les autres Peuples verront ces élections de la même manière. Toutes les polulations semblent, au regard de ce qu'elles voient se passer dans d'autres parties du monde, vouloir donner leur mot dans le destin de leurs Pays.
Par conséquent, chaque Président élu devra veiller à être légitime, sinon la riposte risque de le fragiliser...et parfois même de le limoger...les faits sont têtus, et les prochains mois devront voir les dirigeants plus rendre compte, être plus proches de leurs administrés, veiller à ce que les actes posés soient capables de profiter à la majorité et non plus à une minorité hautaine de surcroît.
Prions pour que ces mouvements, qui sonnent une nouvelle page de la politique en Afrique, ne poussent pas certains Etats dans le chaos. Dans tous les cas, rien ne vaut le mouvement, car il permet au moins de remettre en question les habitudes, de nous sortir de nos zones de confort.
Vive la Démocratie donc, et puisse-t-elle s'organiser autour de vrais projets, de projets ambitieux, dans lesquels le profit des Peuples passe avant celui des Dirigeants.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire