jeudi 24 juillet 2008

L'informatique, opium d'une génération.

Enfin je parviens à me connecter à mon blog!
Le dernier message enresgistré sur ce blog date du mois d'avril 2008. Certes depuis cette date je me suis retrouvé vraiment très occupé, mais mon silence (si souvent déploré par mes lecteurs que je remercie pour les encouragements) s'expliquait surtout par le fait que j'avais "perdu" mon mot de passe.

Cela peut sembler stupide, mais c'est la triste et dure réalité de nos jours. On entend plus souvent cela que "j'ai mal à la dent". Qu'il s'agisse des logiciels au bureau ou des autres applications, je dois manipuler au mimimum 6 mots de passe, les uns aussi tortueux que les autres. En effet il est recommandé soit de ne pas avoir de mot de passe du tout, soit au contraire d'en trouver un qui soit pénible à décoder.

Et les sytèmes les plus fiables demandent que leurs mots de passe soient changés en moyenne après 3 mois...donc dans les nombreuses et régulières manipulations, je me suis retrouvé bloqué. C'est à se demander si la complexité des mots de passe n'est pas pour nous retarder, un matin où l'on souhaite vite se connecter pour envoyer un document urgent à un collègue?

Ce soir j'ai trouvé le courage de mettre sur pied une stratégie longue, mais au moins me permettant de retrouver l'accès à ce fameux blog qui me permet à la fois d'archiver mes idées sur divers sujets, et surtout de m'évader quelques heures, du train train quotidien (mon actuel DG parle du transactional...)

Alors je suis content de recenir sur ce blog, certes beaucoup de choses se sont passées entre temps (Barrack a éliminé ma candidate Hillary à la course à la Présidence des USA, Ingrid Bettancourt a été enfin libérée dans des conditions faisant bizarrement penser à un film américain, l'Epervier a encore fait escale dans certains domiciles, etc.), mais autant on ne peut pas arrêter le temps, autant le monde regorge encore d'assez de faits qui méritent que je produise des articles.

Alors soyez prêts, remettez vos lunettes, c'est reparti!

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